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Mille Ponts : le quatrième album studio d'Amélie-les-crayons Un nouvel univers très percussif, dansant et festif 12 nouveaux titres originaux pour un album rythmé et enjoué. Réponse colorée au précédent album Jusqu'à la Mer qui était introspectif, très boisé, comme un cocon précieux. Ce nouvel opus sera marqué par l'utilisation d'un grand nombre de percussions ou éléments rythmiques. Une grande partie des chansons a été composée à partir d'un rythme, et non d'une harmonie ou suite d'accords. Les arrangements vont donc prendre un chemin beaucoup plus cinglant et dynamique. Ils vont faire la part belle aux percussions donc, mais aussi aux guitares folk claquantes, mandoline, harmonica, slide, et bien sûr piano et voix. Un côté tribal parfois, autour de textes qui parlent de filiation, de liens antre les gens, d'écologie aussi, de solidarité et d'espoir.

Joseph Kamel est un auteur-compositeur-interprète franco-égyptien de 27 ans. Dans la lignée de ses aînés de la Nouvelle Scène Française (Ben Mazué, Jeremy Frérot, Grand Corps Malade), sa musique est à l'image de sa voix : percutante, généreuse et inspirante. Il s'est notamment fait remarquer lors de l'émission The Artist sur France 2, en première partie des Zéniths de Julien Doré et dans la sélection radar Spotify 2023. Son premier album Miroirs sortira le 27 octobre prochain, emmené par son single Celui qui part. Né en Egypte, d'un père égyptien consultant international et d'une mère française médecin humanitaire, Joseph passe les premières années de sa vie avec son frère, dans un appartement du Caire où cohabitent les albums de Supertramp, Tracy Chapman et les vinyles d'Abdel Wahab ou encore Fairuz. Entre le piano et le oud (instrument oriental traditionnel), il débute la pratique musicale à l'âge de 8 ans et découvre rapidement la production, l'étendue de son talent voit le jour. Son premier album Miroirs, est un ensemble d'histoires, d'avenirs et d'origines dans lesquels il se raconte. Avec sa voix singulière, Joseph dévoile en chanson sa réalité, ses émotions et nous plonge dans ses souvenirs. De Caen à la fourmilière du Caire, se dévoilent, dans un désordre organisé, les ruptures et les questions qui rythment sa vie. Cet album reflète les relations humaines vécues ou observées par l'artiste : la peur de se dire aurevoir, le beau, le moins beau, l'importance de l'image dans la société et notre éternelle recherche de vérité.

Avec quelques tambours anciens, des percussions végétales, une mâchoire d'âne et son accordéon, Laurent Cavalié fait vibrer cette corde sensible qui nous relie à la mythologie populaire dans ce qu'elle a de plus noble. Faussement rustiques et savamment métissés, ses chansons croisent avec malice les musiques populaires du monde et nous rappellent que la langue est rythme autant que poésie. Composé de 16 titres, "Mon ombra e ieu" est sans doute l??uvre la plus personnelle de Laurent Cavalié : en notes impressionnistes, celui-ci nous dévoile un imaginaire où l'on croise les personnages de la mythologie languedocienne mais aussi le Canal de la Robine, la Méditerranée... Avec un regard toujours teinté de tendresse, d'ironie et de révolte sur le monde tel qu'il va... S'il continue d'invoquer les grands poètes languedociens (Léon Cordes, Joan Bodon, Auguste Fourès), Laurent Cavalié esquisse ainsi sa propre oeuvre poétique sans jamais perdre de vue la dimension populaire de son art.

Dans la famille nouvelle scène française, donnez-moi le fils. Tibz, du haut de ses 23 ans, s'impose peu à peu comme l'un des jeunes chanteurs français sur qui il faut compter. Et ce n'est pas son parcours de ces deux dernières années qui nous fera mentir : les 1ères parties de Louane un peu partout en France, des apparitions, ici et là, aux côtés de Vianney, Boulevard des Airs. Et puis un nouveau single, Nation, à l'accueil radio unanime. Hymne fédérateur porté par des choeurs d'enfants, une certaine vision du folk à la française teinté d'une pointe d'électro rafraîchissante. Et des morceaux de vie tout en simplicité où trônent les valeurs de l'amitié, du respect de l'autre et du bonheur absolument nécessaire.

Les Bushinengé, descendants d'esclaves enfuis dans la jungle amazonienne de Guyane, affirment leur spécificité culturelle d'essence africaine notamment par la musique et la danse. Adapté à leurs nouvelles exigences de vie ordinaire et sacrée, leur répertoire est fonctionnel, riche en toutes sortes de dynamisme et de symboles : la matière musicale n'a de véritable signification que mise en interaction et en interrelation notamment avec un lieu, une circonstance et un contexte spécifiques ou même un objet consacré. Tambours, hochets, pluriarcs et flutes accompagnent les chants solos, les choeurs et les danses.

Trois ans après " Une version améliorée de la tristesse ", Peter Peter nous revient avec l'album " Noir éden". On y retrouve entre autre le titre ''Loving Game'' qui prouve que l'auteur du tube ''Carrousel'' n'a rien perdu de son talent ainsi que des morceaux aux accents plus électroniques comme le titre éponyme ''Noir éden'' ou encore ''Bien réel''. ''Noir éden'' est un album tout à la fois électronique mais charnel, froid et sensuel, noir et lumineux, enlevé et mélancolique...